Est-ce la cravate du danseur, ou le fait que nous soyons
lundi et que le ciel est gris au-dessus de la Défense, mais cette photo me
parle en cette journée de travail. Vivement le prochain spectacle. D’Alain
Platel car mieux que d’autre comprend que la danse peut être l’expression
d’un mal-au-corps, d’un malaise, et la beauté qui l’accompagne.
Aujourd’hui je partage l’envie de tendre les bras comme ce
danseur ! Et de crier silencieusement arrrrgggg….
F*
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