Lecture d'un article des Echos (21-22 sept. 2012) sur la Biennale de la Danse à Lyon. Un petit paragraphe sur "Ce que j'appelle l'oubli", d'après le livre de Laurent Mauvignier. Et une phrase : "Angelin Preljocaj évite l'illustration : il pourrait cependant couper quelques minutes." qui me permet enfin de mettre LE mot juste sur ce qui me gène dans les spectacles de ce chorégraphe, même quand je les trouve superbes : bien plus que d'autres, il illustre...
The R !Libellés : Angelin Preljocaj